Pour le Gimelec, le rythme de croissance de son domaine d’activité est exceptionnel, tant par sa continuité sur les deux dernières années que par ses taux de progression soutenus : + 8 % en 2006, + 9 % en 2007. Le chiffre d’affaires de la profession atteint ainsi en 2007, 11,7 Milliards d’Euros.
Cette progression est le reflet d’une croissance commune à l’ensemble des activités et des marchés des entreprises, en France et à l’exportation.
Les ventes en France bénéficient à la fois d’une bonne conjoncture et des premiers effets du « Grenelle de l’Environnement ». En effet, la prise de conscience progressive de la nécessité de réaliser des économies d’énergie et de réduire les émissions de CO2 dans les bâtiments et l’industrie offre des débouchés à fort potentiel.
Sur le marché de l’industrie, les entreprises du Gimélec proposent des solutions pour améliorer l’efficacité énergétique des utilités de process. A titre d’exemple, la mise en oeuvre de moteurs à haut rendement pilotés par des variateurs de vitesse permet de réduire de 30 % à 50 % la facture énergétique. Le faible taux d’équipement des moteurs électriques en variateurs électroniques, de 10 % à 15 %, laisse entrevoir un marché potentiel important.
Avec un bond de + 11 % en 2007, les ventes de la profession destinées au marché du bâtiment sont celles qui ont connu la plus forte progression.
Malgré une conjoncture plus modérée en France, le marché de l’industrie bénéficie d’une légère croissance et demeure porteur dans divers secteurs dont la pharmacie, la chimie et l’agroalimentaire. De plus, des projets de modernisation des installations existantes profitent aux ventes de systèmes d’automatismes et aux produits et systèmes d’entraînement motorisés. Les solutions de MES (Manufacturing Execution System) s’inscrivent elles aussi dans une dynamique positive, portées par les besoins de retours d’information et de mesure dans les process. Enfin, le matériel d’instrumentation de procédés connaît une progression significative, notamment grâce à la prise en compte des contraintes environnementales dans les usines.
L’activité internationale de la profession reste sur un trend durablement positif grâce, en particulier, aux besoins des pays émergents et des pays producteurs d’hydrocarbures, en matière d’infrastructures dans de nombreux domaines : énergie, oil & gas, eau et transports, pour ne citer que les principaux débouchés.
A ce jour, l’activité des entreprises membres du Gimélec ne semble pas significativement impactée par les difficultés de l’économie américaine et la crise financière liée au phénomène des « subprimes ».
La crise financière actuelle ne doit pas occulter le bon équilibre géographique et sectoriel du portefeuille clients de la profession et la bonne tenue de ses marchés majeurs, à savoir le tertiaire, l’énergie et les infrastructures. Les entreprises de l’équipement électrique et des automatismes voient donc pour 2008, des perspectives de croissance basées sur des fondamentaux toujours solides. Dans ce contexte, les adhérents du Gimélec maintiennent pour 2008 leur objectif volontariste de croissance, compris entre + 4 % et + 6 %. Ils restent cependant vigilants face aux tendances inflationnistes des matières premières, cuivre et fer en particulier, susceptibles d’obérer leur compétitivité.
Cette progression est le reflet d’une croissance commune à l’ensemble des activités et des marchés des entreprises, en France et à l’exportation.
Les ventes en France bénéficient à la fois d’une bonne conjoncture et des premiers effets du « Grenelle de l’Environnement ». En effet, la prise de conscience progressive de la nécessité de réaliser des économies d’énergie et de réduire les émissions de CO2 dans les bâtiments et l’industrie offre des débouchés à fort potentiel.
Sur le marché de l’industrie, les entreprises du Gimélec proposent des solutions pour améliorer l’efficacité énergétique des utilités de process. A titre d’exemple, la mise en oeuvre de moteurs à haut rendement pilotés par des variateurs de vitesse permet de réduire de 30 % à 50 % la facture énergétique. Le faible taux d’équipement des moteurs électriques en variateurs électroniques, de 10 % à 15 %, laisse entrevoir un marché potentiel important.
Avec un bond de + 11 % en 2007, les ventes de la profession destinées au marché du bâtiment sont celles qui ont connu la plus forte progression.
Malgré une conjoncture plus modérée en France, le marché de l’industrie bénéficie d’une légère croissance et demeure porteur dans divers secteurs dont la pharmacie, la chimie et l’agroalimentaire. De plus, des projets de modernisation des installations existantes profitent aux ventes de systèmes d’automatismes et aux produits et systèmes d’entraînement motorisés. Les solutions de MES (Manufacturing Execution System) s’inscrivent elles aussi dans une dynamique positive, portées par les besoins de retours d’information et de mesure dans les process. Enfin, le matériel d’instrumentation de procédés connaît une progression significative, notamment grâce à la prise en compte des contraintes environnementales dans les usines.
L’activité internationale de la profession reste sur un trend durablement positif grâce, en particulier, aux besoins des pays émergents et des pays producteurs d’hydrocarbures, en matière d’infrastructures dans de nombreux domaines : énergie, oil & gas, eau et transports, pour ne citer que les principaux débouchés.
A ce jour, l’activité des entreprises membres du Gimélec ne semble pas significativement impactée par les difficultés de l’économie américaine et la crise financière liée au phénomène des « subprimes ».
La crise financière actuelle ne doit pas occulter le bon équilibre géographique et sectoriel du portefeuille clients de la profession et la bonne tenue de ses marchés majeurs, à savoir le tertiaire, l’énergie et les infrastructures. Les entreprises de l’équipement électrique et des automatismes voient donc pour 2008, des perspectives de croissance basées sur des fondamentaux toujours solides. Dans ce contexte, les adhérents du Gimélec maintiennent pour 2008 leur objectif volontariste de croissance, compris entre + 4 % et + 6 %. Ils restent cependant vigilants face aux tendances inflationnistes des matières premières, cuivre et fer en particulier, susceptibles d’obérer leur compétitivité.