Au premier trimestre 2007, le chiffre d’affaires de Schneider Electric atteint 3 893 millions d’euros : à périmètre et taux de change courants, il connaît une croissance de +22,4% par rapport au même trimestre de 2006.
Les acquisitions – principalement le groupe APC consolidé depuis le 15 février 2007, mais aussi les sociétés IBS, Merten et GET acquises en 2006 – apportent une contribution significative de 412 millions d’euros (+12,9%) au chiffre d’affaires du trimestre. L’effet de change est défavorable, de 118 millions d’euros (-4,2%), en raison d’une nouvelle dépréciation du dollar par rapport à l’euro. A périmètre et taux de change constants, la croissance du chiffre d’affaires atteint un nouveau record de +13,7% au 1er trimestre 2007. Le début d’année est marqué par une croissance particulièrement forte dans les activités de gestion de l’énergie, de services ainsi que dans les projets et solutions.
Le trimestre bénéficie d’un rythme de croissance particulièrement soutenu en Europe, grâce notamment au succès confirmé des nouvelles activités (gestion de l’énergie, services, ultra terminal). En Amérique du Nord, la croissance retrouve un niveau plus élevé, concrétisant la bonne tendance des commandes fin 2006 et l’effet des hausses de prix de vente. Les pays émergents affichent à nouveau des performances remarquables, avec une croissance de 19% en moyenne.
En Europe, le début d’année est particulièrement fort avec une croissance organique de +14,6%. L’Europe de l’Est réalise une progression, de l’ordre de 35%, confirmant le potentiel des marchés en Russie et dans les nouveaux pays membres de l’Union Européenne. En Europe de l’Ouest, la croissance se poursuit à un rythme élevé en Espagne et au Royaume-Uni, portée par une demande soutenue sur les marchés de la construction et des infrastructures. Elle se renforce en Italie et en Allemagne. Outre le fort dynamisme des activités de services et gestion de l’énergie, la performance du 1er trimestre est amplifiée par des conditions climatiques favorables d’où un effet de saisonnalité potentiellement atténué cette année au 2e trimestre.