Jusqu’ici la famille Fx comprenait les versions FX 1S, FX1N et FX2N chacune permettant de passer de la version de base vers le haut de gamme. La nouvelle référence FX3U vient compléter et dans quelques années remplacer la FX2N, mais elle va également créer une place intermédiaire entre le FX2N et la série Q.
Si avec la version précédente les axes ne pouvaient être gérés, le FX3U donne la possibilité de gérer des fonctions de positionnement sans rajouter de modules, l’acquisition d’impulsions de comptage ou bien la génération d’impulsions pour le pilotage (fréquence de 100 KHz) sont intégrées en standard dans l’automate programmable. Des instructions particulières assurent le contrôle indépendant de 4 axes.
Avec l’apport du réseau SSCNet en standard, il est possible de rajouter des modules spécifiques de comptage rapide ou des générateurs d’impulsions (200 Khz) et cela jusqu’à 8 modules de deux axes chacun, soit un total de 16 axes. De quoi répondre à l’un des marchés de prédilection de Mitsubishi, à savoir les constructeurs de machines ayant dans les 200/300 entrées-sorties à gérer et quelques axes à asservir.
Si avec la version précédente les axes ne pouvaient être gérés, le FX3U donne la possibilité de gérer des fonctions de positionnement sans rajouter de modules, l’acquisition d’impulsions de comptage ou bien la génération d’impulsions pour le pilotage (fréquence de 100 KHz) sont intégrées en standard dans l’automate programmable. Des instructions particulières assurent le contrôle indépendant de 4 axes.
Avec l’apport du réseau SSCNet en standard, il est possible de rajouter des modules spécifiques de comptage rapide ou des générateurs d’impulsions (200 Khz) et cela jusqu’à 8 modules de deux axes chacun, soit un total de 16 axes. De quoi répondre à l’un des marchés de prédilection de Mitsubishi, à savoir les constructeurs de machines ayant dans les 200/300 entrées-sorties à gérer et quelques axes à asservir.