Avec 123,8 millions de vente pour son 3ème trimestre, Kontron AG continue sur la lancée de son premier semestre fiscal. Cela représente une croissance de 7,7 % par rapport à la même période de l’année fiscale antérieure (115 millions d’euros). Le niveau record du second trimestre (126,7 millions d’euros) a une fois de plus connu un léger excédant si l’on tient compte de la cessation de revenus due à la déconsolidation de la joint venture avec Asian Quanmax le 30 juin (environ 4,7 millions d’euros). La croissance organique totale est même excédentaire de 16 %, après ajustement suite à la déconsolidation de Quanmax, et aux effets de devise fortement négatifs. Par conséquent, Kontron AG a réalisé sur les neuf premiers mois un chiffre d’affaires de 356,3 millions d’euros, contre 322,6 millions l’année précédente. L‘ensemble des commandes non encore livrées se monte à 299 millions d’euros au 30 septembre. Soit une croissance de 12 % comparée à l’année d’avant (267 millions d’euros), en dépit de la chute du dollar.
Le troisième trimestre a connu un niveau record de 91 millions d’euros (l’année précédente : 73 millions d’euros). Les commandes les plus importants proviennent – entre autres – d’applications dans le domaine de l’énergie, des télécommunications, ainsi que dans les nouveaux champs d’application qui gravitent dans le domaine de l’informatique de loisirs.
"Une croissance des ventes au 3ème trimestre, un niveau élevé de commandes restant encore à livrer de presque 300 millions d’euros, et, surtout, une augmentation renforcée des conceptions gagnantes, tant du point de vue du volume que du chiffre sont des indicateurs positifs de la continuelle rentabilité des activités de Kontron AG," commente Ulrich Gehrmann, PDG de Kontron. “Les mêmes attentes étant prévues sur le quatrième trimestre, la société suppute que ses objectifs seront atteints pour 2008 à savoir : une croissance à deux chiffres des ventes (après ajustement des devises), accompagnée d’une augmentation encore plus rapide du résultat d’exploitation. Toutefois, des effets négatifs à court terme ne sont pas à exclure dû aux incertitudes grandissantes des marchés internationaux, et plus particulièrement à la récession émergeante ».