Labellisée « Vitrine de l’Industrie du Futur » par
l’Alliance pour l’Industrie du Futur, l’usine
Latécoère de Toulouse-Montredon inaugurée
début 2018, est numérisée, automatisée et
connectée afin de profiter à plein des ressorts de
la quatrième révolution industrielle. La création du
site s’est même appuyée sur un jumeau numérique
pour optimiser l’implantation des machines et
optimiser la production.

Latécoère… pour les passionnés des débuts de l’aviation civile, ce nom fleure un parfum d’aventure mêlé aux odyssées d’Henri Guillaumet, de Jean Mermoz ou encore, d’Antoine de SaintExupéry. L’histoire de Latécoère se confond avec celle du
développement de l’aéronautique en France puisque l’entreprise
toulousaine construisit des biplans Salmson 2A2 dès 1917.

Un peu plus de cent ans plus tard, Latécoère est aujourd’hui connu
comme un équipementier aéronautique, spécialiste des
aérostructures et des systèmes d’interconnexion qui intervient entant
que sous-traitant des plus grands avionneurs mondiaux que sont,
Airbus, Boeing, Dassault, Embraer et bien d’autres encore. Occupant
différents sites dans neuf pays, le groupe Latécoère dont le siège
social, est à Toulouse, emploie 4 500 personnes dans le monde.
Labellisée « Vitrine de l’Industrie du Futur » par l’Alliance pour
l’Industrie du Futur, l’usine de Toulouse Montredon inaugurée début
2018, est numérisée, automatisée et connectée afin de profiter à plein
des ressorts de la quatrième révolution industrielle.

Dans l’usine de Montredon, Latécoère produit des pièces
élémentaires en aluminium, principalement destinées à être installées
sur les portes des Airbus A320, des Embraer E1 et E2 ou encore des
Boeing 787. Une fois produites, ces pièces alimentent des lignes
d’assemblage du groupe Latécoère en République Tchèque, au
Mexique et au Brésil.

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