La plateforme fédérative GERIM, fondée sur de nouvelles technologies de contrôle non destructif, a été inaugurée ce jour au CEA List à Saclay en présence de ses fondateurs notamment le CEA et la Région Ile-de-France.
Les contrôles par ultrasons (US) et courants de Foucault (CF) sont largement répandus dans l’industrie, mais les technologies actuellement utilisées, principalement des capteurs monoéléments, ne répondent pas toujours aux contraintes de cadence, de fiabilité et de rentabilité. Pour dépasser ces limites d’utilisation, de nouvelles technologies multi-éléments ont émergé ces dernières années, dont l’intérêt majeur est d’augmenter les capacités.
Dotée d’une instrumentation et de capteurs multi-éléments par US et CF, et d’un robot permettant les acquisitions sur différents types de pièces, la plate-forme GERIM permet notamment d’étudier de nouvelles technologies de capteurs : capteurs magnétiques à haute sensibilité, traducteurs ultrasonores souples intelligents…, de développer de nouvelles techniques de contrôle et de valider les outils de traitement associés. Les études porteront ainsi sur le contrôle des pièces composites de géométrie complexe, de matériaux de forte épaisseur, de soudures laser, ou sur la détection et la caractérisation de fissures. Dans le contexte actuel où le respect de l’environnement et le développement durable sont des enjeux pour l’industrie, le développement de contrôles multi-éléments est une alternative aux techniques traditionnelles (ressuage, magnétoscopie…) qui présentent l’inconvénient d’utiliser des produits chimiques polluants.
La plateforme, d’un coût global de 1,1 million d’euros, sera mise à disposition des principaux acteurs franciliens : laboratoires de recherche publique développant des méthodes de contrôle et laboratoires industriels utilisateurs de ces technologies.
Les contrôles par ultrasons (US) et courants de Foucault (CF) sont largement répandus dans l’industrie, mais les technologies actuellement utilisées, principalement des capteurs monoéléments, ne répondent pas toujours aux contraintes de cadence, de fiabilité et de rentabilité. Pour dépasser ces limites d’utilisation, de nouvelles technologies multi-éléments ont émergé ces dernières années, dont l’intérêt majeur est d’augmenter les capacités.
Dotée d’une instrumentation et de capteurs multi-éléments par US et CF, et d’un robot permettant les acquisitions sur différents types de pièces, la plate-forme GERIM permet notamment d’étudier de nouvelles technologies de capteurs : capteurs magnétiques à haute sensibilité, traducteurs ultrasonores souples intelligents…, de développer de nouvelles techniques de contrôle et de valider les outils de traitement associés. Les études porteront ainsi sur le contrôle des pièces composites de géométrie complexe, de matériaux de forte épaisseur, de soudures laser, ou sur la détection et la caractérisation de fissures. Dans le contexte actuel où le respect de l’environnement et le développement durable sont des enjeux pour l’industrie, le développement de contrôles multi-éléments est une alternative aux techniques traditionnelles (ressuage, magnétoscopie…) qui présentent l’inconvénient d’utiliser des produits chimiques polluants.
La plateforme, d’un coût global de 1,1 million d’euros, sera mise à disposition des principaux acteurs franciliens : laboratoires de recherche publique développant des méthodes de contrôle et laboratoires industriels utilisateurs de ces technologies.