Le Symop, syndicat des entreprises de technologies de production, annonce un troisième trimestre à l’image du précédent avec une demande en machines-outils globalement correcte pour les machines d’usinage et de formage. Celle-ci est dépendante de l’activité des secteurs clients, favorable dans la mécanique générale et le décolletage, elle reste difficile dans l’automobile et l’aéronautique.
Les projets dans l’automobile restent localisés hors de France, impliquant un accompagnement des clients, constructeurs ou équipementiers, dans la délocalisation de leurs moyens de production. Pour autant, la compétition reste rude, les clients insistant pour réaliser un maximum d’activité localement. Et la pression sur les prix est forte, l’offre étant supérieure à la demande. En France, seules les activités de maintenance et retooling de machines trouvent des débouchés dans ce secteur.
Les projets d’investissement de l’aéronautique restent encore suspendus aux décisions d’Airbus, même si les prévisions d’activité sont optimistes pour les mois à venir. Grâce à un plan de charge satisfaisant, les secteurs comme la mécanique, le décolletage… ont continué d’investir. Ainsi le nombre de consultations se maintient à un bon niveau pour un contenu souvent plus exigeant.
Mais les industriels sont préoccupés par la situation financière de leurs clients souvent tendue et des difficultés de financements rencontrées.
Pour les automatismes et logiciels, si l’activité a été bien orientée sur le deuxième trimestre, celle du troisième est plus mitigée pénalisée par la période d’été et un démarrage lent en septembre. Les délocalisations des moulistes vers les pays de l’Est, des projets automobiles power train et de certaines fabrications aéronautiques, permettent aux industriels de réaliser de bonnes performances en suivant leurs clients français à l’export. Sur le marché domestique, les marchés traditionnels sont en retrait à l’exception des ventes de commandes numériques pour tours. A contrario, les prestations et activités de services, comme le rétrofit, la maintenance, le support technique, se sont notablement développées.
Les industriels ne prévoient pas d’amélioration sur cette fin d’année mais restent optimistes pour 2008 dans un contexte général toutefois dégradé.
Les projets dans l’automobile restent localisés hors de France, impliquant un accompagnement des clients, constructeurs ou équipementiers, dans la délocalisation de leurs moyens de production. Pour autant, la compétition reste rude, les clients insistant pour réaliser un maximum d’activité localement. Et la pression sur les prix est forte, l’offre étant supérieure à la demande. En France, seules les activités de maintenance et retooling de machines trouvent des débouchés dans ce secteur.
Les projets d’investissement de l’aéronautique restent encore suspendus aux décisions d’Airbus, même si les prévisions d’activité sont optimistes pour les mois à venir. Grâce à un plan de charge satisfaisant, les secteurs comme la mécanique, le décolletage… ont continué d’investir. Ainsi le nombre de consultations se maintient à un bon niveau pour un contenu souvent plus exigeant.
Mais les industriels sont préoccupés par la situation financière de leurs clients souvent tendue et des difficultés de financements rencontrées.
Pour les automatismes et logiciels, si l’activité a été bien orientée sur le deuxième trimestre, celle du troisième est plus mitigée pénalisée par la période d’été et un démarrage lent en septembre. Les délocalisations des moulistes vers les pays de l’Est, des projets automobiles power train et de certaines fabrications aéronautiques, permettent aux industriels de réaliser de bonnes performances en suivant leurs clients français à l’export. Sur le marché domestique, les marchés traditionnels sont en retrait à l’exception des ventes de commandes numériques pour tours. A contrario, les prestations et activités de services, comme le rétrofit, la maintenance, le support technique, se sont notablement développées.
Les industriels ne prévoient pas d’amélioration sur cette fin d’année mais restent optimistes pour 2008 dans un contexte général toutefois dégradé.