Sommaire du N°6

Le nouvel Automation est né. Tout ou presque est nouveau, même le maître des lieux en la personne de Christian Janody qui prend la succession de Robert Laglbauer. Pour l’emplacement, c’est le CNIT qui est mis à la retraite au profit du nouveau Hall 4 de la Porte de Versailles.

Avec deux axes, ce robot de Cermex peut manipuler 60 kilos de charge utile à la cadence de 30 cycles/minute et 80 kilos avec une cadence réduite de 2 cycles à l’heure.

Après la fusion des deux sociétés, la représentation en France était encore à régler, c’est aujourd’hui chose faite.

Après la présentation de la nouvelle commande pouvant piloter jusqu’à 27 axes, Motoman vient d’annoncer ses nouvelles mécaniques de 3 à 200 kilos.

L’électronique en 1999 représente 15% du coût d’une automobile et continue de croître grâce au déploiement dans nos véhicules d’une nouvelle architecture électronique. Explication par un constructeur.

De la normalisation européenne, à l’explication du choix de Cyprus pour la production des composants, en passant par l’avenir de la domotique ; le Vice-président Europe d’Echelon n’a pas joué la langue de bois.

Le Club Automation s’est ouvert au monde de l’organisation, limitrophe de celui de l’automatisation. C’est ainsi qu’il nous a gratifié d’une journée, placée sous le signe du juste à temps. Historique du juste à temps, indispensables utilisateurs… autant de connaissances accumulées qu’il a fait partager.
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La vitesse des transferts augmente, ce qui pose la question de l’utilité des mémoires embarquées sur les cartes PCI d’acquisition vidéo. Est-ce qu’une simple FIFO ne suffirait pas ?

En exclusivité pour RobAut, voici les données mondiales de la robotique industrielle fournies par l’IFR et l’ONU. Une année 1998 qui met en valeur les bonnes performances de l’Europe.

S’apercevant qu’ils peuvent faire des gains de peinture conséquents, mais également mieux maîtriser les émissions de produits à retraiter, les industriels sont en train de regarder de plus en plus près les apports de la robotique.
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Le Gimelec a contacté les industriels des automatismes. Ensemble, ils représentent un chiffre d’affaires de 2.256 MF, ce chiffre étant pour 68% réalisé dans le domaine des automates programmables, 7% dans les fonctions d’IHM, 10% en outils de contrôle commande, 8% dans les constituants pour la communication locale et produits d’interface et enfin 7% pour les PC et stations de travail.

C’est en 1977 que le réseau Arcnet a été présenté par une société américaine, ce réseau est l’un des concurrents d’Ethernet qui peut travailler en temps réel.
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D’universel le MES d’origine est en train de se décliner en plusieurs MES, adaptés à chaque métier. Car des 11 fonctions de base retenues, aucun produit ne permet de répondre à l’ensemble du concept. Explications, suivi d’un cas réel de mise en œuvre du MES chez Solvay.
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Les recherches menées à l’INRIA dans le domaine de l’électronique embarquée, et notamment dans le secteur de l’automobile, permettent de faire un état des lieux assez précis des apports de l’informatique embarquée.
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La Vision Spatiale renferme en son nom l’apport qu’elle représente à l’opérateur des procédés industriels, notamment quand celui-ci doit prendre des décisions urgentes et déterminantes dans une situation critique.
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En cas de panne robot, BMW remplace le robot défaillant par un autre, ceci afin de limiter la perte de temps de production. Le robot de substitution doit faire le travail avec les mêmes programmes, ce qui impose que les deux machines atteignent les mêmes positions d’où l’étalonnage des robots.

La préparation des roues, sur le site de Sochaux, implique de savoir répondre à la demande et à la livraison des roues sur la ligne de montage final dans un délai d’une heure avec un en-cours d’un quart d’heure. Répertoire Les systèmes et cartes de vision