A lire dans le dernier Point de conjoncture du Symop : crise financière, puis crise économique, qui pourrait résister à de telles annonces ? Celles-ci agissent manifestement sur la psychologie des acteurs économiques. Et les entrepreneurs des PME-PMI, particulièrement sensibles à la morosité ambiante, se montrent prudents sur l’évolution de leur activité. Cela a pour effet immédiat un report de leurs décisions d’investissement : les projets restent en gestation dans l’attente d’une meilleure visibilité.
Pourtant hors constructeurs et équipementiers de l’automobile, les secteurs clients (énergie, mécanique, ferroviaire, naval…) conservent une charge de travail importante. La bonne tenue de l’activité SAV en machines-outils témoigne de l’utilisation soutenue des équipements. Les secteurs automobile et aéronautique piétinent. D’autres secteurs comme l’énergie ou le ferroviaire n’accusent aucune baisse de leur activité et maintiennent leur plan d’investissement.
Si les industriels constatent quelques difficultés de trésorerie chez leurs clients, cela ne constitue pas la règle. La frilosité persistante des banques à financer des biens d’équipements s’est encore accentuée depuis septembre avec un renforcement des conditions d’octroi entraînant l’ajournement de plusieurs projets d’investissements.
Dans cette conjoncture difficile, l’activité de la machine-outil au troisième trimestre reste soutenue même si l’on observe ponctuellement un ralentissement de la production. Les entrées de commandes ont un peu diminué par rapport au même trimestre de l’année précédente mais les carnets sont encore à un niveau satisfaisant. Après un ralentissement au deuxième trimestre, les industriels notent une chute sensible des consultations depuis septembre.
L’année devrait toutefois se terminer à un niveau de facturations à peu près en ligne avec les objectifs sur la lancée des commandes du premier semestre, même si les industriels prévoient un retrait de l’activité sur le quatrième trimestre. Aucune prévision n’est avancée pour l’année 2009… mais les inquiétudes sont fortes quant au secteur automobile.
Pour les automatismes et logiciels, comme les industriels l’avaient anticipé, la demande s’est dégradée depuis l’été sur le marché français, même si dans l’immédiat le chiffre d’affaire du troisième trimestre n’est pas touché. Les marchés à l’export restent par contre bien orientés. L’activité de service s’est également contractée depuis août mais devrait se maintenir sur les prochains mois.
Pourtant hors constructeurs et équipementiers de l’automobile, les secteurs clients (énergie, mécanique, ferroviaire, naval…) conservent une charge de travail importante. La bonne tenue de l’activité SAV en machines-outils témoigne de l’utilisation soutenue des équipements. Les secteurs automobile et aéronautique piétinent. D’autres secteurs comme l’énergie ou le ferroviaire n’accusent aucune baisse de leur activité et maintiennent leur plan d’investissement.
Si les industriels constatent quelques difficultés de trésorerie chez leurs clients, cela ne constitue pas la règle. La frilosité persistante des banques à financer des biens d’équipements s’est encore accentuée depuis septembre avec un renforcement des conditions d’octroi entraînant l’ajournement de plusieurs projets d’investissements.
Dans cette conjoncture difficile, l’activité de la machine-outil au troisième trimestre reste soutenue même si l’on observe ponctuellement un ralentissement de la production. Les entrées de commandes ont un peu diminué par rapport au même trimestre de l’année précédente mais les carnets sont encore à un niveau satisfaisant. Après un ralentissement au deuxième trimestre, les industriels notent une chute sensible des consultations depuis septembre.
L’année devrait toutefois se terminer à un niveau de facturations à peu près en ligne avec les objectifs sur la lancée des commandes du premier semestre, même si les industriels prévoient un retrait de l’activité sur le quatrième trimestre. Aucune prévision n’est avancée pour l’année 2009… mais les inquiétudes sont fortes quant au secteur automobile.
Pour les automatismes et logiciels, comme les industriels l’avaient anticipé, la demande s’est dégradée depuis l’été sur le marché français, même si dans l’immédiat le chiffre d’affaire du troisième trimestre n’est pas touché. Les marchés à l’export restent par contre bien orientés. L’activité de service s’est également contractée depuis août mais devrait se maintenir sur les prochains mois.