Lorsqu’elles sont confrontées à la nécessaire
transformation digitale de leur outil de
production, les entreprises industrielles
redoutent que les technologies nouvellement
déployées soient mal acceptées en général,
difficilement adoptées par les opérateurs et que
les connaissances accumulées par ces derniers
soient perdues. Schneider Electric prend ces
difficultés au sérieux sur l’ensemble de ses
installations dans le monde.

Impossible de le nier : l’économie mondiale est désormais
engagée dans la quatrième révolution industrielle, une course
qui conduit les entreprises à s’appuyer sur la digitalisation. Les
premiers de cordée perçoivent déjà des avantages mesurables,
tels qu’une efficacité énergétique accrue et une transformation
profonde de l’entretien quotidien comme de la maintenance
régulière, dont résultent une réduction des temps d’inactivité et
un meilleur retour sur investissement.
Reste que dans leur immense majorité, les évolutions
technologiques entraînent une transformation profonde des
méthodes de travail et, le plus souvent, la nécessité pour les
collaborateurs de l’entreprise d’acquérir de nouvelles
connaissances destinées à leur permettre de se les approprier.

USINE DU FUTUR :
LA DIGITALISATION PASSE
PAR L’HUMAIN

Dans ses installations industrielles,
Schneider Electric favorise cette
appropriation, d’une part, en
responsabilisant ses personnels et, de
l’autre, en augmentant leurs capacités et
leur champ d’action par la technologie.  […]