Voilà 10 ans, Mitsubishi Electric lançait la première version du réseau CC-Link (Réseau de Contrôle et Communication), un bus de terrain capable de traiter aussi bien les données d’E/S cycliques que les données acycliques et permettant aux équipements de contrôle et produits associés fournis par différents constructeurs – automates programmables, modules d’entrées-sorties décentralisées, modules de positionnement, de mesure de température, variateurs de fréquence, robots industriels…- de s’interconnecter à l’intérieur d’un même système de contrôle.
CC-Link est géré depuis 2000 par l’association des partenaires du réseau, CLPA (CC-Link Partner Association). Le nouveau standard de communication développé par l’Association CLPA multiplie par dix la vitesse de transmission des données pour atteindre 1Gbit/s.
Avec CC-Link IE, c’est désormais une famille complète de produits qui permet une communication depuis le capteur de base jusqu’à la génération d’un rapport analytique détaillé, en passant par tous les niveaux intermédiaires de management.
La fréquence des communications cycliques est indépendante de la charge du réseau. Elle est donc constante quel que soit le réseau, ce qui le rend déterministe. Cela signifie que les actualisations des informations ne sont pas ralenties lorsque le trafic est dense, notamment en cas d’interventions majeures dans l’usine ou durant des manœuvres d’urgence. En fait, les données peuvent être envoyées d’une station à n’importe quelle autre (et lues par la station destinataire), même à travers des réseaux interconnectés. Toute station peut être pilotée, programmée, relancée et reprogrammée depuis n’importe quelle autre station à l’intérieur du réseau.
Avec son architecture en double boucle, le réseau CC-Link apporte des fonctionnalités de redondance qui garantissent la continuité de la communication même si un câble est rompu ou une station ne répond pas. Ce principe d’architecture permet d’auto-corriger le problème rencontré, les données peuvent circuler dans le sens ascendant et descendant assurant ainsi la continuité du transfert.
Un réseau câblé en fibre optique peut couvrir jusqu’à 66 km (42 miles) sachant que chaque réseau peut comporter 120 stations et que 239 réseaux peuvent être directement interconnectés, les systèmes globaux ainsi créés, devraient donner satisfaction à la plupart des exigences des utilisateurs, avec 14 000 km de câbles et plus de 25 000 nœuds.
CC-Link est géré depuis 2000 par l’association des partenaires du réseau, CLPA (CC-Link Partner Association). Le nouveau standard de communication développé par l’Association CLPA multiplie par dix la vitesse de transmission des données pour atteindre 1Gbit/s.
Avec CC-Link IE, c’est désormais une famille complète de produits qui permet une communication depuis le capteur de base jusqu’à la génération d’un rapport analytique détaillé, en passant par tous les niveaux intermédiaires de management.
La fréquence des communications cycliques est indépendante de la charge du réseau. Elle est donc constante quel que soit le réseau, ce qui le rend déterministe. Cela signifie que les actualisations des informations ne sont pas ralenties lorsque le trafic est dense, notamment en cas d’interventions majeures dans l’usine ou durant des manœuvres d’urgence. En fait, les données peuvent être envoyées d’une station à n’importe quelle autre (et lues par la station destinataire), même à travers des réseaux interconnectés. Toute station peut être pilotée, programmée, relancée et reprogrammée depuis n’importe quelle autre station à l’intérieur du réseau.
Avec son architecture en double boucle, le réseau CC-Link apporte des fonctionnalités de redondance qui garantissent la continuité de la communication même si un câble est rompu ou une station ne répond pas. Ce principe d’architecture permet d’auto-corriger le problème rencontré, les données peuvent circuler dans le sens ascendant et descendant assurant ainsi la continuité du transfert.
Un réseau câblé en fibre optique peut couvrir jusqu’à 66 km (42 miles) sachant que chaque réseau peut comporter 120 stations et que 239 réseaux peuvent être directement interconnectés, les systèmes globaux ainsi créés, devraient donner satisfaction à la plupart des exigences des utilisateurs, avec 14 000 km de câbles et plus de 25 000 nœuds.