L’actualité du RFID dans le domaine industriel est en plein boom. En plus du dossier dans ce même numéro, voici un aperçu de la gamme d’un nouvel entrant dans le monde du RFID, Contrinex.
L’actualité du RFID dans le domaine industriel est en plein boom. Dans notre précédente édition nous vous présentions en exclusivité la nouvelle offre de Turck, aujourd’hui en plus du dossier dans ce même numéro, voici un aperçu de la gamme d’un nouvel entrant dans le monde du RFID, Contrinex.
Créé dans les années soixante, la société suisse c’était jusque là plutôt destinée dans le monde des capteurs inductifs qui représentent toujours près de 65% de son chiffre d’affaires. C’est il y a dix ans que le véritable virage a été pris, avec l’ouverture de bureaux de ventes qui, aujourd’hui, sont au nombre d’une soixantaine. Dans un premier temps Contrinex s’était orienté dans le métier de la production de capteurs inductifs, ensuite ces derniers étaient labellisés sous plusieurs dizaines de marques différentes dont les plus connus sont Siemens ou Sick.
Une place enviable pour ce marché estimé à 27 millions de détecteurs au plan mondial et dont les 5 millions implantés sur le sol Allemand sont complétés par 7 autres millions exportés par les fournisseurs allemands. Nos voisins germains étant à la tête de près de la moitié de ce marché mondial.
Après les inductifs
Cette ouverture de bureaux de vente a permis de proposer directement sous la marque Contrinex l’ensemble de l’offre. De ce face à face avec le client final, il restait parfois une frustration de ne pouvoir proposer une gamme plus large en matière de capteurs. C’est ainsi qu’est apparue une offre de capteurs photoélectriques suivis des capteurs ultrasons et récemment de barrage de sécurité.
La véritable dernière ouverture, c’est le RFID avec lequel Contrinex espère bien renouveler un schéma similaire à celui des capteurs inductifs en commercialisation sous sa propre marque, mais également en labellisant une bonne partie de sa production.
Le principe de fonctionnement reste classique, la mise en service du circuit électronique du Module Lecture/Ecriture génère aussitôt un champ magnétique qui envoie périodiquement un signal pour détecter la présence d’un transpondeur (le Tag passif implanté sur la partie mobile). Dès que le transpondeur apparaît, le champ magnétique lui fournit l’énergie nécessaire à l’alimentation de son circuit intégré ce qui lui permet de répondre aux sollicitations du Module de lecture/écriture en renvoyant chaque fois son numéro d’identification.
Jusque là, rien d’original dans l’offre Contrinex, si ce n’est que l’expérience du capteur inductif aura servie pour le développement du RFID. Dans 80% des cas de casse des capteurs, c’est la face avant qui est percutée ou arrachée. La solution de Contrinex consiste à noyer l’ensemble du capteur dans une structure métal incassable, mais également a augmenter les distances de réponse, un choix autorisant le recul du capteur par rapport aux pièces à contrôler.
Des Tags métal
Dans le cas du RFID, les Tags sont en métal et de forme cylindrique filetée ou non, et peuvent être totalement noyés en les vissant dans le support mobile. Ce choix, s’il permet de profiter de l’expérience en matière de production a quelques inconvénients comme un champ magnétique partiellement absorbé par le métal, réduisant du même coup la distance de lecture. Par la même occasion, c’est la fenêtre de lecture/écriture qui s’en trouve affectée et réduite proportionnellement. Pour les réfractaires au métal, pas de soucis, la firme Suisse a rajouté une offre en résine époxy, mais cette fois-ci, c’est elle qui les labellises.
En ce qui concerne les modules de lecture/écriture, ils sont intégrés dans un cylindre métallique fileté. La tête de lecture/écriture pouvant être en PBTP ou intégrée dans un module monobloc en acier inox, comme pour les capteurs inductifs.
j47p20L’actualité du RFID dans le domaine industriel est en plein boom. Dans notre précédente édition nous vous présentions en exclusivité la nouvelle offre de Turck, aujourd’hui en plus du dossier dans ce même numéro, voici un aperçu de la gamme d’un nouvel entrant dans le monde du RFID, Contrinex.
Créé dans les années soixante, la société suisse c’était jusque là plutôt destinée dans le monde des capteurs inductifs qui représentent toujours près de 65% de son chiffre d’affaires. C’est il y a dix ans que le véritable virage a été pris, avec l’ouverture de bureaux de ventes qui, aujourd’hui, sont au nombre d’une soixantaine. Dans un premier temps Contrinex s’était orienté dans le métier de la production de capteurs inductifs, ensuite ces derniers étaient labellisés sous plusieurs dizaines de marques différentes dont les plus connus sont Siemens ou Sick.
Une place enviable pour ce marché estimé à 27 millions de détecteurs au plan mondial et dont les 5 millions implantés sur le sol Allemand sont complétés par 7 autres millions exportés par les fournisseurs allemands. Nos voisins germains étant à la tête de près de la moitié de ce marché mondial.
Après les inductifs
Cette ouverture de bureaux de vente a permis de proposer directement sous la marque Contrinex l’ensemble de l’offre. De ce face à face avec le client final, il restait parfois une frustration de ne pouvoir proposer une gamme plus large en matière de capteurs. C’est ainsi qu’est apparue une offre de capteurs photoélectriques suivis des capteurs ultrasons et récemment de barrage de sécurité.
La véritable dernière ouverture, c’est le RFID avec lequel Contrinex espère bien renouveler un schéma similaire à celui des capteurs inductifs en commercialisation sous sa propre marque, mais également en labellisant une bonne partie de sa production.
Le principe de fonctionnement reste classique, la mise en service du circuit électronique du Module Lecture/Ecriture génère aussitôt un champ magnétique qui envoie périodiquement un signal pour détecter la présence d’un transpondeur (le Tag passif implanté sur la partie mobile). Dès que le transpondeur apparaît, le champ magnétique lui fournit l’énergie nécessaire à l’alimentation de son circuit intégré ce qui lui permet de répondre aux sollicitations du Module de lecture/écriture en renvoyant chaque fois son numéro d’identification.
Jusque là, rien d’original dans l’offre Contrinex, si ce n’est que l’expérience du capteur inductif aura servie pour le développement du RFID. Dans 80% des cas de casse des capteurs, c’est la face avant qui est percutée ou arrachée. La solution de Contrinex consiste à noyer l’ensemble du capteur dans une structure métal incassable, mais également a augmenter les distances de réponse, un choix autorisant le recul du capteur par rapport aux pièces à contrôler.
Des Tags métal
Dans le cas du RFID, les Tags sont en métal et de forme cylindrique filetée ou non, et peuvent être totalement noyés en les vissant dans le support mobile. Ce choix, s’il permet de profiter de l’expérience en matière de production a quelques inconvénients comme un champ magnétique partiellement absorbé par le métal, réduisant du même coup la distance de lecture. Par la même occasion, c’est la fenêtre de lecture/écriture qui s’en trouve affectée et réduite proportionnellement. Pour les réfractaires au métal, pas de soucis, la firme Suisse a rajouté une offre en résine époxy, mais cette fois-ci, c’est elle qui les labellises.
En ce qui concerne les modules de lecture/écriture, ils sont intégrés dans un cylindre métallique fileté. La tête de lecture/écriture pouvant être en PBTP ou intégrée dans un module monobloc en acier inox, comme pour les capteurs inductifs.