Sommaire du N°16

Une édition 2001 de Factory Automation à la foire de Hanovre avec peu de nouvelles grandes tendances pour les bus de terrain, mais de nouveaux produits et des stands axés sur l’image des entreprises.

Au cours des dernières années, la vision s’est fortement développée dans l’industrie. La question fondamentale est de savoir quelles sont les applications industrielles susceptibles de tirer profit de cette technologie, quelles sont les étapes nécessaires pour intégrer la technologie de vision dans l’atelier et comment choisir un système de vision qui soit à la fois opérationnel le plus rapidement possible et qui réponde de manière optimale à l’application à laquelle il est destiné.

Pendant de nombreuses années, les développeurs de systèmes de vision industrielle ont rêvé d’un moyen simple et standard de connecter des caméras numériques à des cartes d’acquisition d’images, las de passer un temps de développement précieux à travailler avec une vaste gamme de connecteurs et de câbles personnalisés onéreux – et souvent incompatibles – fournis par les fabricants de caméras et de cartes d’acquisition d’images. En octobre 2000, un nouveau type de câble destiné à la vision industrielle et proposant une interface d’acquisition image à caméra de maniement plus facile et meilleur marché a enfin vu le jour: la norme Camera Link.

Alto de Leroy Automation, des entrées-Sorties déportées sur Ethernet avec en prime une communication entre les blocs par liaison infrarouge.

Eco-Sys et son Eco. Un nouveau moyen pour la traçabilité et l’identification utilisant un codage bidimensionnel linéaire.
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Linux va pénétrer au cœur même des automatismes de contrôle-commande avec cette cible Alograf pour Linux.
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Avec une place dans les trois premiers des ventes de robots Scara en Europe, Epson souhaite augmenter sa part de marché en France qui est restée jusque là loin des espérances de la maison mère.
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Avec la sortie de la Bandit-100, Coreco montre qu’il a su intégrer ses propres compétences de l’embarqué à celles d’Imaging Technology, récemment acquis.
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Au cours des derniers salons informatiques, le sans fil montre son bout du nez.

Eco-Sys et son Eco. Un nouveau moyen pour la traçabilité et l’identification utilisant un codage bidimensionnel linéaire.

Le système Civis. Depuis ce début d’année, la vision s’introduit véritablement dans le monde de l’embarqué, à bord des nouveaux bus commercialisés par Matra.

Avec un objectif de vendre 2500 robots en 2005, Staubli revoit une partie de sa stratégie. Ce sera un nouveau contrôleur et le développement d’une nouvelle gamme de mécaniques.
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Après les Américains, c’est au tour des Européens de venir sur le marché de la programmation générique de robots, un même logiciel pour toutes les mécaniques. De quoi rêver !
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Avec la carte MaxVidéo 2000, Datacube gère l’acquisition et le traitement en temps réel de 400 Mo de données vidéo.

Ce sont les Européens et non les Japonais qui ont été les premiers à présenter un robot pouvant manipuler 500 kilos, les KR 500 de Kuka et IRB 7600 d’Abb.

Avec le Stack 104, le tandem Erim/Leroy vient proposer un calculateur PC 104 pour le contrôle/commande dans le ferroviaire.
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Avec sa nouvelle gamme de produits Snap-IT d’automatismes, l’Américain Opto 22 s’ouvre au monde du sans fil.
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Victoires françaises à Séoul avec l’organisation de l’ISR de 2004 en France, mais également la création de l’European Robotics Forum.
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Avec ses CBA (Component based Automation), Siemens annonce les composants objets. C’est l’arrivée des lignes de production modulaires, des lignes pourvues d’intelligence et des technologies objets.
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Leader dans le développement du bus Can, l’automobile récidive avec deux projets européens qui se veulent déterministes et redondants.

Dans le mot IHM, il y a Homme, et c’est pour ne pas y avoir pensé suffisamment tôt que certaines réalisations se sont soldées par des fiascos. C’est un peu le message du dernier rendez-vous du Club Automation. Au cours de cette journée, l’ensemble des protagonistes était d’accord pour remettre le dialogue entre les hommes au centre de l’Ihm, la technique venant au second plan.
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EDF évalue les micro-noyaux possibles pour la rénovation de certaines applications d’informatique industrielle. Les besoins montrent la nécessité d’utiliser les produits du commerce, d’où ces évaluations.
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