Sommaire du N°35

Le monde de l’automatisme industriel n’est qu’au début d’une extraordinaire révolution informatique silencieuse mais irrésistible. Cette évolution va se développer en trois phases distinctes, chacune représentant une étape importante dans l’utilisation et la sophistication et chacune pouvant apporter des avantages importants tirés d’une connexion Ethernet.

Avec l’avènement d’Internet, les exigences de production abordent un nouveau tournant et le rythme du changement s’accélère. Chacun trouve normal d’avoir les informations à portée de main et, parallèlement, les marchés exigent désormais que les produits soient fabriqués plus rapidement et soient de plus en plus personnalisés.

Avec Automatica, les Allemands viennent de refaire un Exporobot à la mode Outre-Rhin. Sur le plan de l’organisation, rien à redire. Pour les visiteurs, les objectifs ne sont pas atteints, mais les exposants sont satisfaits.

Festo vient d’intégrer son offre de terminal électrique CPX avec l’automate FEC qui gère les aspects automatismes. Avec ce couple, c’est Ethernet qui diffuse ces informations aussi bien au niveau de l’Internet que de l’Intranet. Il intègre un Web Server et envoie des e-mail.

Il devenait contraignant de porter quatre ou cinq appareils de mesure différents attachés à la ceinture. Par exemple, dans le cas d’un analyseur portable pour vérifier la qualité de la neige. Pour répondre à la demande, voici les PDA acquéreurs de données.

A l’heure où tout le monde s’interroge et souhaite savoir lequel des deux sera, entre CCD et CMOS, le grand vainqueur de la guerre des imageurs un outsider pourrait bien faire son entrée sur le marché de la vision.

Quel sera l’avenir de l’automobile et, par la même, de l’automatisation et de la robotique dans le monde automobile ? Voilà une question que le président de Renault nous pousse à poser. Alors Logan sans automatisme ou Modus robotisé à 99% ?

Axeda poursuit son chemin sur la voie du Web avec l’annonce de Hypervisor, sorte de Big Brother pour structure moyenne. Ce produit vient combler le trou qui existait entre Supervisor et le DRM présenté il y a un peu plus d’un an.

Jusqu’ici les robots emportaient surtout des outils de process que ce soit pour le soudage ou la découpe. Depuis peu commencent à apparaître des solutions étudiées de concert entre un roboticien et un concepteur de système de vision, des produits adaptés à un métier.

La société Pleora s’est spécialisée dans les interfaces GigaEthernet. Le système se présente sous la forme d’un boîtier, ou d’une carte électronique, sur lequel on peut connecter une ou plusieurs sources vidéo de type analogique ou numérique (CameraLink, LVDS…).

En dehors des réorganisations prévues dans le domaine des salons industriels, plusieurs expositions incontournables sont à prendre en considération. C’est le cas de Micronora et d’Elec.

Le marché souvent appelé « Remote Terminal Unit » compte un acteur de plus, en la personne de Schneider. Un RTU est en fait un automatisme local avec une surveillance à distance. Premier gamme de produits, le W@de pour le traitement de l’eau.

Après la bataille des bus de terrain, l’association Profibus passe le turbo avec Profinet. Maintenant ce sont les chips qui arrivent sur le marché, et donc la démocratisation des applications. Voici, un bilan complet de Profinet qui, pour aller le plus vite possible, va se servir de Profibus comme tremplin.
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Cet article explore la possibilité d’utiliser des architectures ouvertes avec des structures flexibles basées sur les technologies Internet pour intégrer les informations provenant de diverses sources tout en étant simultanément en relation avec les logiciels et systèmes de gestion d’équipements industriels sur site permettant l’installation, la planification de la maintenance, la surveillance d’état et l’étalonnage des instruments de mesure.
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Voici, comme tous les ans, une liste des sites à visiter ou revisiter. Cette année nous avons tenu compte des commentaires qui regrettaient que nous ayons exclu tous les sites anglophones. Certains sites incontournables ont été rajoutés.

La production des lampes Philips destinées à la signalisation des véhicules est faite à Chartres. C’est la seule usine d’envergure de production de lampes à être implantée sur le sol de l’Europe de l’Ouest. Pour rivaliser, elle a investi en vision industrielle.
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Jusqu’en 2003, les échantillons laitiers étaient fournis dans des flacons de verre stérilisés et envoyés par MCS à la laiterie. Ces flacons étaient ensuite distribués aux producteurs. Aujourd’hui tout a changé.