Sommaire du N°39

Au moment où les utilisateurs commencent à mettre en œuvre les premiers systèmes de sécurité, des publicités tendent à proposer aux industriels des matériels « agréés SIL n » mais cette présentation n’est pas recevable en tant que tel par les utilisateurs.

La présence d’entraînements électriques numériques est en augmentation. Les entraînements électriques permettent à la fois d’augmenter les performances et la flexibilité des machines tout en garantissant un rendement énergétique optimal.

Avec NetX, Hilscher propose aux utilisateurs une plate-forme de communication universelle, permettant de dialoguer avec l’ensemble des protocoles de terrain existants ainsi qu’avec Ethernet Industriel temps réel.

Il s’est passé beaucoup de choses lors du dernier SPS/IPS/Drives de Nuremberg, et notamment l’annonce de la version sécurité de Powerlink qui veut porter le fer face à la concurrence.

Chez Kontron le choix est vaste avec une offre matériel, logiciel et d’OS variée. De quoi exiger des compétences en « gymnastique » pour le développeur. Ces éléments disparates se doivent de communiquer avec le Web.

Phœnix Contact s’intéresse toujours à la communication. Fervent défenseur d’Interbus qu’il a mis dans le domaine public après en avoir été le créateur, le constructeur allemand s’est tourné, il y a à peine un an, vers Profinet.

Alors que les industriels français s’interrogent encore quant aux choix d’Ethernet dans le milieu industriel, leurs confrères allemands Audi, Volkswagen, Daimler Chrysler et BMW viennent de se réunir et ont décidé de faire bloc.

Abb Entrelec en avait marre de la profusion des bus de terrain, et surtout de devoir développer chaque capteur et actionneur en fonction de chacun des bus de terrain. Aussi, il a développé le concept de FieldbusPlug, le FBP.

Sur le salon Elec, les responsables de B&R mettaient entre les mains des visiteurs trois morceaux de plastique constituant le X20 qui remplit tout aussi bien les fonctions d’un système de contrôle que celles d’entrées-sorties décentralisées.

Il serait difficile de reprocher à Panorama, de ne pas être capable de répondre aux demandes des grandes entreprises. A partir de l’offre de base, Europ Supervision vient de proposer la version E2lite, pour des applications d’une centaine de variables.

Emerson vient de proposer une solution dont la volonté est de fournir un système de sécurité complet, des capteurs aux actionneurs, en passant par les solveurs. C’est le système DeltaV qui évolue et intègre ses fonctions de sécurité (SIS).

Le livre de Martine Wahl « Les réseaux de terrain embarqués dans les transports guidés » fait le point sur les applications embarquées, et notamment dans les transports.

Les acteurs de l’instrumentation et du contrôle/commande ayant choisi Fieldbus Foundation ont décidé de franchir une étape de plus avec la création d’une association française, avec comme objectif de développer le marché en France.

Le scrutateur laser S 3000 de Sick, qui succède au PLS, est utilisé pour sécuriser les zones dangereuses et les accès horizontaux et verticaux conformément au type 3 IEC/EN61496-3 aussi bien dans les applications mobiles que stationnaires.

En matière d’expositions, on vient de siffler la mi-temps, et le marché fait le tour des popotes, analyse les dégâts, compte les absents… parmi les nouveautés SCS Automation & Control (Semaine Internationale des Systèmes Composants et Solutions pour l’Industrie).

La stratégie de GE Fanuc, dans le monde des automatismes industriels, tourne autour de deux grands axes, les Pac Systems et Profity. A tous GE Fanuc propose les mêmes briques matérielles.

Après son concept de TIA et de TIP, Siemens innove avec son PIA, l’un des moyens de réussir son pari : devenir leader dans le domaine des automatismes et deuxième dans celui des entraînements dans les trois ans.

Depuis la fin de l’année dernière, Newall a rejoint le groupe BEI et vient compléter l’offre de codeurs rotatifs, notamment avec la technologie Spherosyn. Ce procédé donne un codeur à induction composé d’une tête de lecture et d’une échelle.

Le métier de base de Segula qui vient de racheter Roptimaxes reste l’ingénierie. Cette matière grise, il l’apporte autant au niveau de la conception du produit, que lors de la production. Cette connaissance le groupe veut en faire profiter les PME.

Deux capteurs de vision à l’actif d’Omron. Le ZFV est destiné aux OEM et utilisateurs finaux et le F500 est le premier d’une série de systèmes de vision pouvant être utilisé en réseau.

Le marché de la détection est sans pitié. Il faut montrer une dynamique de nouveautés pour avoir des chances de tirer son épingle du jeu. Sur le salon Elec, Turck Banner faisait partie de ceux-là, avec près d’une dizaine de nouveaux produits.

Voici que s’ouvre le premier salon Industrie Lyon. Les offreurs sont au rendez-vous et depuis quelques mois, les parties assemblage, contrôle, vision… sont en liste d’attente.

Rarement une profession ne se sera autant sentie ragaillardie par un projet commun. Après avoir été montré du doigt, la robotique vient au secours des emplois, en permettant aux entreprises de rester compétitives en produisant en France.

Après avoir décentralisé l’intelligence, la gamme de régulateur IAC (régulateur d’axe intégré) sait communiquer via les bus de terrain. Les valves sont paramétrées, commandées et les données d’exploitation des axes sont transmises via les bus CanOpen et Profibus DP.

L’image la plus parlante de cette solution de vision industrielle, c’est d’imaginer le contenu d’un CD Rom transféré en une seconde, et cela de façon continue. Pour cela il suffit d’un PC et la carte PCI Express 1429.

Avec son RBR-D5H la firme nipponne Kreuz a mis au point un robot dédié à l’ébavurage. Il réunit d’une part les techniques indispensables aux applications d’ébavurage, et les avantages de la flexibilité de la robotique.

Le marché de la vision continue de se structurer, la firme allemande Stemmer Imaging vient de s’associer avec Imasys en France et Firstsight en Angleterre. Le total du chiffre d’affaires est de 32 Millions d’Euros avec une centaine de salariés.

Sur le marché du capteur de présence/absence, ce sont maintenant les fournisseurs de systèmes de vision qui font leurs entrées. Et ils ne veulent pas que cette offre puisse être ressentie comme un capteur de vision de plus.

Lorsqu’il y a une vingtaine d’années se créait une PME du nom de Tecnomatix avec un logiciel de programmation hors-ligne de robots. Quelques 228 millions de dollars plus tard, c’est UGS, leader dans le monde de la Cao et du PLM qui prend son contrôle.

De nos jours, le bouclier avant d’une voiture est produit dans une usine différente de celle qui est charge de la carrosserie et lors de l’assemblage final tous les éléments doivent se marier pour fournir un ensemble homogène. Optis d’Abb MC vous y aide.

Le concept de base de ces préhenseurs a été développé par SpiderTech, qui a confié la production et la commercialisation à Ccmop. L’élément de base est un collier comprenant quatre goupilles, qui serre et met en position géométrique des bras interchangeables.

Du nom de Polyfeed Standalone, ce système autonome d’alimentation intègre une trémie de stockage des composants, un système de vision Cognex qui gère les caméras et un robot quatre axes (X, Y, Z et rotation).

Parmi les noms bizarres appris lors de vos études, le mot Hypoïde en a forcément fait partie. Cette technique autorise de forts couples, pour cela il faut désaxer l’axe du pignon d’attaque par rapport à l’axe de la couronne. C’est ce que fait le réducteur HG+ d’Alpha.

En 1988 Staubli avait créé son premier Scara, il avait pour nom RS 84. Depuis le 1er Mars de cette année, c’est toute la gamme des robots Scara de Bosch/Rexroth qui rejoint le groupe Suisse.

Dans sa nouvelle offre PMAT, destinée au marché de la manipulation de tôles et autres pièces étanches, le groupe Piab garantit à ses clients que si l’air vient à manquer, les pièces resteront à leur place pendant au moins 24 heures.

Durant l’année 2004, ce sont autant de robots qu’en 2002 qui se sont implantés sur le territoire français. De quoi, rendre impatients les constructeurs, mais de nouveaux marchés apparaissent et l’automobile prend moins de poids.

Le rêve des bus de terrain est-il en passe de devenir un nouveau cauchemar ? Il faut être capable de paramétrer, de maintenir et de diagnostiquer une installation de la même façon quel que soit l’équipement. A ma droite vous avez les fervents partisans d’EDDL et à ma gauche ceux de FDT/DTM.
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Tel que défini dans IEEE 802.3, Ethernet est non déterministe et donc impropre à être utilisé pour des applications industrielles. Pourtant, voilà plus de trois ans que tout le monde s’affaire, pour trouver la solution qui permettrait de faire d’Ethernet un standard industriel digne de ce nom.
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Les moteurs électriques sont omniprésents dans l’industrie et sont utilisés dans un nombre pléthorique d’applications qu’il serait illusoire de vouloir recenser ici. Cet article a pour but de présenter les principaux types de moteurs utilisés dans l’industrie ainsi que les différents systèmes de commande qui les accompagnent.

La société Moulin Guénard a été créée en 1920. Au départ simple meunerie, elle représente aujourd’hui plus de 250 000 tonnes d’aliments pour bétail confectionnées par an, avec un soin tout particulier porté sur la qualité des produits et la traçabilité.
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De nombreuses applications de tri industrielles nécessitent la mise en œuvre de systèmes de séparation et d’alignement de paquets, capables, à partir d’un flux d’entrée constitué d’un ensemble hétérogène et désorganisé d’éléments, de former un ou plusieurs flux de sortie véhiculant des éléments espacés et alignés. Voici une solution utilisant la vision industrielle.
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L’œil humain est capable de  » voir  » la chaleur pour des températures très élevées : le soleil (6000°C), un filament de tungstène (2200°C) ou un morceau de fer rouge (600°C) dégagent un rayonnement thermique pouvant être détecté par notre système de vision. Mais pour des températures inférieures à 500°C, ce dernier est malheureusement totalement inadapté.